Bibliographie
Sources
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Notes
Tombs, 1992.
Howard, 1962.
Roth, 1990.
Audoin-Rouzeau, 1989.
Levillain et Riemenschneider (éd.), 1990.
Quelques exemples : Taithe, 2001 ; Varley, 2008.
On se rapproche en fait peu à peu d’une armée de conscription. Voir Crépin, 2009.
Howard, 1962, pp. 252-253.
Sur les Garibaldi en Bourgogne, on renverra à Scirocco, 2001 et à l’ouvrage moins scientifique de Molis, 1995.
Orobon, 2012.
López Cordón, 1975, pp. 382-385 notamment.
Rubio, 1989.
Ibid., pp. 567-575.
Pécout, 2008 et Id., 2009.
Par exemple, Ignace, 2009.
Sarlin, 2013.
Salom, 1967, pp. 47-48.
Archives du Ministère des Affaires Étrangères (AMAE) 37, CP 876, 26 juillet 1870.
Voir Code civil des Français, 1804, p. 6.
Voir Monlleó Peris, 2001 et Fuente Monge, 2001 pour l’Espagne, et Aprile, 2010a, pp. 469 sqq. pour la France.
Rubio, 1989, p. 575.
La Época, 23 septembre 1870.
Sur ce parti, voir Pérez Roldán, 2001.
Il est reproduit notamment dans La Época, journal libéral, du 23 septembre 1870 qui espère, dans l’entrefilet qui introduit l’appel, voir partir en France « le parti [républicain fédéral] tout entier si nécessaire ».
Darriulat, 2001 ; Baquiast, 2007 ; Quillet, 2008.
Peyrou, 2012 ; Orobon, 2012.
La Época, 23 septembre 1870.
La prégnance de cette division de l’Europe entre une Europe germanique et une Europe latine dont l’affrontement semble inéluctable devrait inviter à s’interroger sur le sens de ce motif argumentatif.
Ibid.
Il faut notamment rappeler ici les liens anciens entre Espagnols et Italiens, qui ne sont pas sans expliquer que les Espagnols se mettent sous les ordres de Garibaldi. Voir Pascual Sastre, 2001.
Ibid.
Auquel participait Fernando Garrido. Peyrou, 2012, p. 112.
Pour plus de détails, voir Gossez, 1951.
Les informations biographiques sont tirées de Larousse, Grand dictionnaire universel du xixe siècle, 1874, t. XI, p. 1436. Voir aussi Peyrou, 2008.
Il avait alors combattu l’expédition des Cent Mille Fils de Saint-Louis mandatée par la Sainte-Alliance pour rétablir le roi Ferdinand VII dans ses prérogatives de souverain absolu.
La Época, 23 septembre 1870.
Ibid.
Cette question est en partie la cause de la progressive division du républicanisme espagnol entre une branche unitaire et une branche fédérale favorable à l’internationalisme. Pour une présentation générale, Duárte, 2011 et Id., 2013.
La Esperanza, 14 octobre 1870.
Sur Cuba, voir Piqueras Arenas, 2001.
El Moro Muza, 13 novembre 1870.
El Moro Muza, 6 novembre 1870.
Et ce d’autant plus qu’Orense, comme un certain nombre de républicains, était soup-çonné de s’être montré favorable, dans les années 1850, à la cession de Cuba aux États-Unis en échange d’argent pour mener la révolution en Espagne. Peyrou, 2012, pp. 112-113.
La Esperanza, 24 septembre 1870.
La Época, 23 septembre 1870.
Amae, 37, CP 876, 26 juillet 1870.
Rapport cité dans La Correspondencia de España, 27 septembre 1870.
Ibid.
Bien sûr Agulhon, 1970 mais voir aussi Id., 1977.
D’excellentes remarques à ce sujet dans McPhee, 1995. Sur les rapports transfrontaliers, on consultera aussi Sahlins, 1988.
La Iberia, 1er octobre 1870.
Robert, Bourloton et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, t. V, p. 2.
On ne sait pas trop ce qu’entend Orense par cette junte ; peut-être s’agit-il d’une structure destinée à organiser la mobilisation pour la guerre dans la ville.
La Discusión, 1er octobre 1870.
Le fait est attesté pour Castelar par Larousse, Grand dictionnaire universel du xixe siècle, t. XVI, p. 473.
La Iberia, 13 octobre 1870.
Larousse, Grand dictionnaire universel du xixe siècle, 1874, t. XI, p. 1436.
Annuaire Encyclopédique, p. 1578.
El Imparcial, 3 octobre 1870.
Maitron, 1968, t. V, p. 230.
Diario oficial de avisos de Madrid, 17 octobre 1870.
On trouvera sa biographie dans Robert, Bourloton et Cougny, Dictionnaire des parlementaires français, t. III, pp. 42-43.
Peu d’éléments sont disponibles dans l’historiographie concernant cet exil. On renverra à Aprile, 2010b, pp. 125-126 et à Delaunay, 2002.
El Imparcial, 3 octobre 1870.
Service Historique de l’Armée de Terre (SHAT), Lx 123, dossier « Légion garibaldienne espagnole ».
La Discusión, 4 octobre 1870.
La Discusión, 18 octobre 1870.
La Discusión, 26 octobre 1870.
La Iberia, 29 octobre 1870.
La Correspondencia de España, 30 octobre 1870.
El Imparcial, 26 octobre 1870.
La Iberia, 29 octobre 1870.
Ibid.
Voir par exemple Canal, 2007.
SHAT, Lx 123, dossier « Légion espagnole ».
Voir Orobon, 2012, p. 170.
El Imparcial, 24 novembre 1870.
El Imparcial, 26 octobre 1870.
La Correspondencia de España, 30 octobre 1870.
L’exemple du brigantaggio italien est ici classique, le terme de « brigandage » réduisant une révolte politique à un simple délit de droit commun. Voir Manchon, 2010.
La Correspondencia de España, 30 octobre 1870.
Pour plus de précisions, voir Roth, 1990, pp. 217-220.
Ibid., pp. 224-226.
Ibid., pp. 288-289 et Larousse, Grand dictionnaire universel du xixe siècle, 1872, t. VIII, p. 1039.
La Discusión, 26 octobre 1870.
La Discusión, 1er novembre 1870.
El Combate, 6 novembre 1870.
SHAT, Lx 123.
Peut-être a-t-elle accueilli les derniers volontaires espagnols arrivés en France comme ceux signalés par le Diario oficial de avisos de Madrid du 30 novembre qui partent de Marseille pour se diriger vers Lyon avant d’aller se mettre aux ordres de Garibaldi.
On notera cependant l’absence de toute indication concernant la mortalité.
Pour plus de détails voir Scirocco, 2001, pp. 350 sqq.
Pour tout ce qui précède, SHAT, Lx 123, dossier « Compagnie espagnole ».
Tous ces détails sur la vie de Louis Blairet se trouvent sur sa fiche informatique sur le catalogue de la BNF : <http://catalogue.bnf.fr/servlet/autorite?ID=12337580&idNoeud=1.1&host=catalogue> (consultée le 21/03/2013).
Blairet, L’armée des Vosges et les Garibaldiens, pp. 49-51.
Ibid., p. 51.
SHAT, Lx 138.
SHAT, Lx 123, dossier « Guérilla franco-espagnole ».
Reproduite dans Blairet, L’armée des Vosges et les Garibaldiens, p. 55.
SHAT, Lx 123, dossier « Guérilla franco-espagnole ».
Voir par exemple la déclaration de quittance de cette légion dans SHAT, Lx 123, dossier « Légion garibaldienne espagnole ».
Pour sa biographie, voir Larousse, Grand dictionnaire universel du xixe siècle, 1877, t. XVI, p. 395.
Des éléments biographiques et des détails sur son rôle dans l’armée des Vosges dans La Presse du 26 janvier 1892.
Bordone, Garibaldi et l’armée des Vosges, pp. 218 et 446. On y apprend également qu’Antonio Orense, au service de Garibaldi depuis octobre, s’est vu confier le commandement d’un corps composé d’Italiens, la Légion italienne, dite de Marsala, faisant lui aussi partie de la première brigade.
Pourtant Pedro Yarza, qui raconte son baptême du feu à El Combate, affirme appartenir à la troisième brigade, dirigée par Menotti.
SHAT, Lx 123, dossier « Légion garibaldienne espagnole ».
SHAT, Lx 123, dossier « Légion espagnole ».
On trouve notamment dans le matricule des Volontaires de l’Ouest, c’est-à-dire des anciens Zouaves Pontificaux ayant décidé de continuer à combattre en France, deux Espagnols.
SHAT, Lx 123, dossier « Légion garibaldienne espagnole ».
Surtout si l’on ajoute les morts putatifs. En appliquant un taux de mortalité de 15%, soit le taux moyen pendant cette guerre, on obtient 460 volontaires.
Pour ce qui va suivre, voir SHAT, Lx 123, dossier « Légion garibaldienne espagnole », sauf mention contraire.
Voir le décret dans SHAT, Lx 138.
Pour plus de détails, voir Molis, 1995.
C’est le cas pour la Compagnie espagnole et la Guérilla franco-espagnole.
Voir par exemple Moisand, à paraître.
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